Q : J'ai surpris mon fils de 7 ans en train de faire quelque chose qui n'était pas le sien. Elle a pris le collier de sa grand-mère et la poupée de sa cousine. Je l'ai mis en attente pendant une semaine et lui ai demandé d'écrire : Je suis vraiment désolé. Je ne veux pas le voler 100 fois. Il devrait également s'excuser auprès des personnes impliquées. Conduisez-vous bien ? Que puis-je faire pour éviter que cela ne se reproduise ? Votre fille a atteint l’âge où elle comprend que voler est une mauvaise chose. Il existe de nombreuses raisons pour lesquelles il pourrait voler des membres de sa famille ou même à l'extérieur de la maison. Je ne pense pas qu'elle ait pris le collier de sa grand-mère et les poupées de ses proches parce qu'elle les aimait et les voulait. Il est assez vieux pour savoir que voler ces choses était une erreur et qu'il pourrait se faire prendre. Vous dites que vous restituerez les objets volés à leurs propriétaires et que vous vous excuserez personnellement auprès des membres de leur famille. Ce sont les conséquences logiques et naturelles du vol. Le forcer à écrire une lettre d’excuses de 100 phrases n’est pas une punition suffisante ; il sert uniquement à punir, et non à discipliner ou à éduquer. J'essaie de découvrir pourquoi votre fille a été volée. Je parie que votre enfant souffre à un certain niveau, probablement un niveau inconscient qu'il n'est pas très doué pour exprimer. Montrez-lui une gentillesse fondamentale et un amour inconditionnel lorsque vous lui posez des questions sur des choses qui pourraient la déranger : a-t-elle besoin de plus de temps et d'attention ? Est-il jaloux de son frère ? Y a-t-il quelque chose dans votre maison qui pourrait l'inquiéter ? Vous vivez une crise familiale permanente : divorce, maladie chronique, perte d'emploi ? Les enfants de cet âge volent souvent les membres de leur famille pour exprimer leur confusion quant à la dynamique familiale actuelle. Son caractère secret vous donne l'impression que son besoin de votre compréhension et de vos soins lui fait du mal. Je sais que vous lui apporterez l’aide compatissante dont il a besoin, sans jugement.